Charles LAPICQUE (1898-1988)

Lot 84
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Charles LAPICQUE (1898-1988)
Un dimanche aux régates, 1952 Huile sur toile, signée et datée 52 en bas vers la droite, resignée, redatée et titrée au dos. 97 x 130 cm Un dimanche aux régates, 1952. L'espace du souvenir est transparent Les corps n'y sont point opaques parce que la mémoire, en nous faisant voir un moment du temps à travers un autre a rendu le temps lui-même transparent. La voile d'un bateau qui avance est transparente parce que, dans le temps de la mémoire, l'image d'une position est toute imprégnée de l'image d'une position précédente. Ainsi la voile laisse transparaître le paysage parce que, l'instant d'avant, c'est l'image du paysage que nous regardions. Expositions : -1960, New York, Galerie A. Loeb, (reproduit au catalogue). - 1962, Berne, Kunsthalle. - 1962, Munich, Städtische Galerie. - 1962, Musée de Grenoble. - 1962, Musée du Havre. - 1964, Hambourg, Kunstverein, (reproduit au catalogue). - 1965, Essen, Musée Folkwang. Bibliographie : Tendances actuelles de l'Art Français, ostende, 1954. Jean Lescure, Lapicque, Flammarion, 1956, reproduit page 111. connaissance des Arts, n° 78, 1958. Bernard Balanci, Charles Lapicque, catalogue raisonné de l'oeuvre peint et de la sculpture, éditions Mayer, Paris, 1972, décrit et reproduit sous le n° 248. Un dimanche aux régates, 1952. L'espace du souvenir est transparent ; Les corps n'y sont point opaques parce que la mémoire, en nous faisant voir un moment du temps à travers un autre a rendu le temps lui-même transparent. La voile d'un bateau qui avance est transparente parce que, dans le temps de la mémoire, l'image d'une position est toute imprégnée de l'image d'une position précédente. Ainsi la voile laisse transparaître le paysage parce que, l'instant d'avant, c'est l'image du paysage que nous regardions. Charles Lapicque
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